Introspection 2020-02-01

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Introspection 2020-02-01 by Erik Andler

Cette œuvre est née d’une rencontre entre Erik Andler et le professeur Hugues Duffau lors d’une journée de formation au fonctionnement du cerveau organisée par Art For Science. Elle nous invite, de prime abord, à un questionnement spatio-temporel. Puis, elle nous propose de vivre, au-travers de nos connexions neuronales et des synapses, un voyage au plus profond de soi.

 

 

Démarche Artistique

Erik Andler poursuit une démarche plastique qui fait écho aux travaux scientifiques développés à travers les siècles.

Ses peintures interrogent sur le temps, sa perception, sa réalité mais aussi sur l’espace et sur l’univers.

Les premières questions sont posées :
Qu’est-ce que le temps et quel est son processus ?
Quid du temps psychologique et de la perception que nous avons de son écoulement ? Le temps est-il toujours linéaire ?
Le temps n’est-il pas plutôt relatif ? 

Les œuvres d’Erik Andler interrogent notre quotidien dans lequel s’érigent les lois de la physique et des mathématiques dites «classiques».

Au-delà du temps psychologique et de sa perception qui nous trouble, ses peintures questionnent la science bien au-delà de la physique Newtonienne. Nous pénétrons alors au cœur des lois de la relativité générale démontrée par Albert Einstein et jusqu’à ses interactions avec la physique quantique. Les lois d’un monde qui nous entoure dans lequel nous évoluons et que l’on connaît partiellement. 

Le travail d’Erik Andler fait également émerger des questions qui empruntent le chemin des neurosciences.

Technique: Peinture acrylique sur toile de lin et châssis en aluminium.

Dimensions:  73 x 54 x 2,5 cm

L’œuvre est signée au dos comme toutes œuvres Art For Science

 

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Description

Qui est l’artiste Erik Andler ?

Enfant, Erik Andler s’interroge sur les planètes, les étoiles, l’immensité de l’univers et l’écoulement du temps. L’artiste se plonge dans les mystères de la matière, étudie la formation et l’extinction des étoiles et cherche à comprendre l’origine et l’expansion de l’univers. Passionné par le mouvement des aiguilles d’une horloge Comtoise et à compter les secondes et les minutes, Erik Andler est également émerveillé par les phénomènes physiques que l’on peut observer. Il passe des heures à scruter le ciel et tente de comprendre quelles sont les forces qui construisent et nourrissent l’univers.

Mais une autre passion l’habite : la peinture, qu’il perçoit comme un être vivant entre deux mondes, celui de la matière chargée de vibrations et le monde que Goethe appellerait « spirituel ».

En 1993 – 1994, l’artiste suit une formation scientifique.

En 1994, lors d’un séjour à Paris, il est troublé par la peinture impressionniste.
En 1994 – 1995, l’artiste étudie les mathématiques au CNAM.
En 2003, Erik Andler s’intéresse à l’art conceptuel.
En 2006, l’artiste se rend à New York, visite les galeries et les musées de la ville.

De 2008 à 2015, Erik Andler collabore à des accrochages dans des foires internationales à New York, Paris, et Bâle. Durant cette période, c’est au contact de différentes démarches artistiques et esthétiques, que sa sensibilité artistique se développe.
En 2009, lors d’un voyage à New York, l’artiste rencontre On Kawara et en est alors bouleversé.
En 2010, après une période de réflexion, Erik Andler débute la peinture en autodidacte en se réappropriant formellement l’esthétique picturale des Date Paintings d’On Kawara. Il commence à peindre d’abord sur papier.
En 2012, l’artiste réalise sa première peinture sur toile : NOV, 11. 2011

En 2013, à Paris, il apparaît à l’artiste comme une évidence que les données du temps, de la métaphysique, de la physique et de l’astrophysique puissent être réunies dans une même œuvre. L’artiste débute alors son travail sur la linéarité du temps. Il propose, à l’instar de Newton, d’observer un phénomène physique au travers d’une date. Il réalise alors la peinture FEB, 29. 2004

En 2014 et 2015, afin de renforcer sa technique, il étudie le dessin à l’ENSBA à Paris.
En avril 2016, à Lyon, Erik Andler commence à montrer son travail.
En juillet 2016, l’artiste effectue un voyage d’étude à Barcelone. Ce voyage est déterminant. Il y ressent le besoin de se détacher de l’emprunt formel du début de son travail pour travailler une forme plus personnelle. Dès son retour à Lyon, Erik Andler utilise la forme de la date définie par la norme internationale ISO 8601. Cette norme spécifie la représentation numérique de la date et de l’heure. Cette notation, créée en 1988, est destinée à éviter tout risque de confusion dans les communications internationales due au grand nombre de notations régionales différentes. Elle a en outre de nombreux avantages pour une utilisation informatique par rapport aux autres notations.
Dès septembre 2016, suite à une réflexion faite lors de son voyage à Barcelone, l’artiste commence à travailler sur la non-linéarité du temps. C’est-à-dire, la relativité du temps.
De nouvelles questions jaillissent alors de ses nouvelles peintures.

En 2018, 1ère exposition personnelle du 15 mai au 15 juin à Emergence, Lyon 06.

En juillet 2019, Erik Andler participe à une exposition collective à Saint-Jean-d’Aulps avec les membres du mouvement « Les TransFiguratifs » qu’il a rejoint.

En janvier 2020, l’artiste rencontre les co-fondateurs d’Art For Science et le professeur Hugues Duffau.

 

Démarche Artistique

Erik Andler poursuit une démarche plastique qui fait écho aux travaux scientifiques développés à travers les siècles.

Ses peintures interrogent sur le temps, sa perception, sa réalité mais aussi sur l’espace et sur l’univers.

Les premières questions sont posées :
Qu’est-ce que le temps et quel est son processus ?
Quid du temps psychologique et de la perception que nous avons de son écoulement ? Le temps est-il toujours linéaire ?
Le temps n’est-il pas plutôt relatif ? 

Les œuvres d’Erik Andler interrogent notre quotidien dans lequel s’érigent les lois de la physique et des mathématiques dites « classiques ».

Au-delà du temps psychologique et de sa perception qui nous trouble, ses peintures questionnent la science bien au-delà de la physique Newtonienne. Nous pénétrons alors au cœur des lois de la relativité générale démontrée par Albert Einstein et jusqu’à ses interactions avec la physique quantique. Les lois d’un monde qui nous entoure dans lequel nous évoluons et que l’on connaît partiellement. 

Le travail d’Erik Andler fait également émerger des questions qui empruntent le chemin des neurosciences.

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