L’article en 3 extraits :
« Semblable à une rencontre humaine, parfois capable de déclencher un sentiment presque amoureux, une œuvre [d’art] agite quantité de neurotransmetteurs et d’antidouleurs dans notre cerveau »
« Le cerveau a deux fonctions : il nous permet de rester en vie et de nous donner l’envie de vivre. »
Pierre Lemarquis parle aussi du rapport de force qui sévit dans notre cerveau entre la raison et la passion, symbolisé par l’image d’un cavalier (la raison – l’intellect) et son cheval (la fougue – la passion) : « heureusement c’est le cheval qui l’emporte […] et ainsi naissent des fantaisies, ou certains désirs qui nous écartent de la rationalité mais qui nous définissent en tant qu’humain »
« Une œuvre d’art s’adresse aux deux facultés de notre cerveau : découverte de ce qu’il ne connaît pas […], plaisir et récompenses […] »
Découvrez les résultats des expériences faites auprès de visiteurs de musée :
Cet article nous a été transmis par Laure Mayoud, spychologue qui pratique les prescriptions culturelles à ses patients depuis plusieurs années à Lyon : « Amis de la beauté bonsoir,
Je vous fais partager ce bel article dans Le Monde d’aujourd’hui à l’occasion de la sortie du livre « L’art qui guérit » de Pierre Lemarquis avec les projets de notre association dont vous êtes acteurs! Nous avançons ensemble pour continuer à ouvrir le monde accompagnée de la beauté ! »
Laure Mayoud, Fondatrice et vice-présidente de l’association « L’invitation à la beauté »
Merci Laure, Pierre et votre association qui œuvre pour l’art dans les chambres d’hôpitaux !